Le Quotidien de l'Art

« Eileen Gray a toujours aimé troubler les pistes »

R. A. Pourquoi le Centre Pompidou a-t-il mis autant de temps avant d'organiser une exposition sur Eileen Gray, après celle en 2005 du Design Museum à Londres ?

C. P. Cela fait dix ans qu'on en parle au Centre Pompidou. Il y a eu « Charlotte Perriand » et, pour le rythme des expositions entre les services, nous essayons de ne pas revenir tout le temps sur la même période. Mais au final, il n'y a pas eu tant de rétrospectives que cela, au V & A à Londres en 1979, et au MoMA à New York en 1980. Le sujet n'est pas simple car Eileen Gray a travaillé entre la modernité et les arts décoratifs. Elle a choisi de tout faire. Elle a aussi réalisé très peu de pièces, n'est presque jamais passée à la phase industrielle. Il y a très peu de photos d'elle, des archives lacunaires. Elle ne…

« Eileen Gray a toujours aimé troubler les pistes »
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Article issu de l'édition N°321