Il y a deux ans, en pleine préparation de Photo London, Michael Benson, directeur de la foire, s’inquiétait des conséquences futures du Brexit, se préparant à vivre des moments difficiles… Aujourd’hui, il sourit en pensant à l’année et demie qui vient de s’écouler, le Covid a été bien pire. L’absence d’édition physique en 2020 n’a évidemment pas été compensée par l’édition en ligne qui a été cependant une solution pour continuer à exister malgré tout : « Cette édition 2021 a été la foire la plus difficile que nous ayons eue à organiser depuis la création il y a six ans », disent en chœur les deux fondateurs, Fariba Farshad et Michael Benson. Ce dernier mentionne l’exemple d’un galeriste d’outre-Atlantique qui a dû annuler quelques jours avant le début de la foire, faute de pouvoir embarquer. Dorénavant, la capacité d’adaptation et la flexibilité sont des nécessités pour tous : de nombreux exposants avouaient avoir attendu le dernier moment pour décider de leur participation.
Première pour Bigaignon
Il faut…