Le Roman algérien, installation filmique ponctuée de trois chapitres, pose un regard critique sur la constitution des récits nationaux et la circulation des images. La réalisatrice Katia Kameli s’intéresse d’abord au kiosque ambulant d’un certain Farouk, qui accroche chaque jour des cartes postales de l’époque coloniale sur les grilles de la Banque nationale…