Pendant 14 ans, il a dû subir des attaques en règle : Andy Warhol lui envoyait des cartes postales demandant d’interrompre son travail et le pianiste Maurizio Pollini réclamait de conserver son Michel-Ange « sale » car il l’aimait ainsi. Mais Gianluigi Colalucci, décédé dimanche dernier à Rome à l’âge de 92 ans, a tenu bon. De 1980 à 1994, en tant que restaurateur en chef des musées du Vatican,…