Un an dorénavant que les Puces de Saint-Ouen font face à des ouvertures en dents de scie et à une chute drastique du tourisme international – représentant 70 % de leur clientèle. Cela n’a pas empêché quinze nouveaux marchands, entre 20 et 80 ans, d’investir l’un des principaux marchés, celui de Paul Bert Serpette, où le prix du mètre carré s'élève à plus d'une centaine d'euros par mois et qui réunit quelque 350 marchands sur le millier de Saint-Ouen. Parmi les nouveaux stands, la galerie Gram présente notamment des céramiques, Thibault Arnet du mobilier italien, Françoise Bodel des objets de décoration, la galerie Merveilles mêle 50 % de mobilier et 50 % d’histoire naturelle, la galerie Brésilienne (anciennement galerie Andréani)…
Saint-Ouen : vent de renouveau avec 15 jeunes marchands
Quinze marchands n’ont pas craint les conséquences des mesures sanitaires et ont signé pour s’installer dans les allées du marché Paul Bert Serpette. Parmi les moteurs de leur décision, l’aspect rassurant de l’effet de groupe et la garantie d’une clientèle diverse et intéressée.