Le Quotidien de l'Art

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Vue de l’exposition « Médiase » de Kriki à la Galerie Suzanne Tarasieve.
Vue de l’exposition « Médiase » de Kriki à la Galerie Suzanne Tarasieve.
Courtesy Galerie Suzanne Tarasieve/Adgap, Paris 2020.
Kriki, "Syrian", 2017, huile sur toile,
130 x 195 cm.
Kriki, "Syrian", 2017, huile sur toile,
130 x 195 cm.
Courtesy Galerie Suzanne Tarasieve/Adgap, Paris 2020.
Kriki.
Kriki.
Photo Rafael Pic.
Robert Smithson, "Algae, algae", vers 1961-1963, peinture et collage de photos sur Masonite, 59,3 x 69,1 x 0,6 cm.
Robert Smithson, "Algae, algae", vers 1961-1963, peinture et collage de photos sur Masonite, 59,3 x 69,1 x 0,6 cm.
Holt/Smithson Foundation/Courtesy Robert Smithson et Marian Goodman Galler/Adagp, Paris 2020.
Robert Smithson, "1,000 Tons of Asphalt", 1969, encre, crayon et crayon, 45,1 x 60,6 cm.
Robert Smithson, "1,000 Tons of Asphalt", 1969, encre, crayon et crayon, 45,1 x 60,6 cm.
Holt/Smithson Foundation/Courtesy Robert Smithson et Marian Goodman Galler/Adagp, Paris 2020.
Robert Smithson, "Paris in the Spring", 1963, crayon avec collage sur papier, 50,8 x 35,6 cm.
Robert Smithson, "Paris in the Spring", 1963, crayon avec collage sur papier, 50,8 x 35,6 cm.
Holt/Smithson Foundation/Courtesy Robert Smithson et Marian Goodman Galler/Adagp, Paris 2020.
Robert Smithson, "Untitled", 1963,
gouache et collage, 45,1 x 35,6 cm.
Robert Smithson, "Untitled", 1963,
gouache et collage, 45,1 x 35,6 cm.
Holt/Smithson Foundation/Courtesy Robert Smithson et Marian Goodman Galler/Adagp, Paris 2020.
Vue de l'exposition « La Maison de Rosalie » à la galerie Nathalie Obadia.
Vue de l'exposition « La Maison de Rosalie » à la galerie Nathalie Obadia.
Photo Bertrand Huet/Tutti image/Courtesy de l’artiste et Galerie Nathalie Obadia/Adap, Paris 2020.
Vue de l'exposition « La Maison de Rosalie » à la galerie Nathalie Obadia.
Vue de l'exposition « La Maison de Rosalie » à la galerie Nathalie Obadia.
Photo Bertrand Huet/Tutti image/Courtesy de l’artiste et Galerie Nathalie Obadia/Adap, Paris 2020.
Agnès Varda, "Valentine Schlegel avec un couteau de sa collection - vase et plat, rue Daguerre, Paris", 1955, tirage argentique posthume noir et blanc sur papier Warmtone à partir du négatif 6x6, 60,5 x 40,5 x 3,5 cm encadré. Édition 1/10.
Agnès Varda, "Valentine Schlegel avec un couteau de sa collection - vase et plat, rue Daguerre, Paris", 1955, tirage argentique posthume noir et blanc sur papier Warmtone à partir du négatif 6x6, 60,5 x 40,5 x 3,5 cm encadré. Édition 1/10.
Succession Varda/Courtesy Agnès Varda et Galerie Nathalie Obadia.

C’est Noël mais les galeries du Marais n’ont pas forcément envie de fermer après les lockdowns à répétition… Voici trois propositions qui permettront de passer les fêtes de manière originale.

Kriki

Galerie Suzanne Tarasieve

Grand bazar 2.0.

Ancien punk à grande barbe, passé par une pratique intensive du street art et du skate board, Kriki, né en 1965, est devenu un archiviste des dérives du monde. Dans ses tableaux fourmillant de détails, comme dans ce Syrian de 2017 (à 24 000 euros) voisinent des fils électriques, un général assyrien qui ressemble à un hipster, une table de grand hôtel, un tapis persan, une carte du monde, un visage à facettes, des bombes à fragmentation ou à peinture, des fétiches antiques… et pas une seule ligne droite, ce qui convient bien à l’esprit d’escalier qui l’anime ! Kriki crée sur son écran d’ordinateur des puzzles numériques en aspirant – et en les digérant – les ressources du net avant de les retranscrire en grandes compositions sur toile (36 000 euros pour Le Tour, 65 000 pour le diptyque I Have a Dream) ou en dessin sur papier (à 6500 euros). C’est la violence, les trafics, les guerres qu’il dénonce…

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Article issu de l'édition N°2074