Si on ne devait retenir qu'une œuvre, ce serait l’installation composée de 666 autoportraits de Samuel Fosso qui introduit le parcours. On serpente, cernés par son visage inhabituellement sans fard. Mais ce serait dommage car l’exposition,…
Si on ne devait retenir qu'une œuvre, ce serait l’installation composée de 666 autoportraits de Samuel Fosso qui introduit le parcours. On serpente, cernés par son visage inhabituellement sans fard. Mais ce serait dommage car l’exposition,…
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Je m'abonneArticle issu de l'édition N°1994
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