Le Quotidien de l'Art

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Sarah Sze, "Picture Perfect (Times Zero)", 2020, peinture à l'huile,  acrylique, polymères, encre, aluminium, papier d'archivage, graphite, diabond et bois,
215,9 x 327,7 x 8,9 cm.
Sarah Sze, "Picture Perfect (Times Zero)", 2020, peinture à l'huile, acrylique, polymères, encre, aluminium, papier d'archivage, graphite, diabond et bois,
215,9 x 327,7 x 8,9 cm.
Photo Rob McKeever/Sarah Sze/Courtesy Gagosian
Sarah Sze, "Plein Air (Times Zero)", 2020, bois, acier inoxydable, vidéoprojecteurs, papier d'archivage, cure-dents, pinces, règle, trépieds, dimensions variables.
Sarah Sze, "Plein Air (Times Zero)", 2020, bois, acier inoxydable, vidéoprojecteurs, papier d'archivage, cure-dents, pinces, règle, trépieds, dimensions variables.
Photo Thomas Lannes/Sarah Sze/Courtesy Gagosian.
Rashid Johnson, "Untitled Anxious Red Drawing",
2020, huile sur coton, 76,2 x 55,9 cm.
Rashid Johnson, "Untitled Anxious Red Drawing",
2020, huile sur coton, 76,2 x 55,9 cm.
Rashid Johnson/Courtesy Rashid Johnson et Hauser and Wirth
Rashid Johnson, "Untitled Anxious Red Drawing",
2020, huile sur coton, 97,2 x 127 cm.
Rashid Johnson, "Untitled Anxious Red Drawing",
2020, huile sur coton, 97,2 x 127 cm.
Rashid Johnson/Courtesy Rashid Johnson et Hauser and Wirth
Rashid Johnson dans son atelier en train de réaliser "Untitled Anxious Red Drawing" (2020).
Rashid Johnson dans son atelier en train de réaliser "Untitled Anxious Red Drawing" (2020).
Rashid Johnson/Courtesy Rashid Johnson et Hauser and Wirth
Premier plan : Camille Henrot, "K2" (2019)
Tatiana Trouvé, "The Guardian" (2019)
Au fond : Daniel Buren, "Pierre de Jérusalem (Israël) / Blanc Thasos (Grèce) - 23 lattes, travail situé 2015" (2015).
Premier plan : Camille Henrot, "K2" (2019)
Tatiana Trouvé, "The Guardian" (2019)
Au fond : Daniel Buren, "Pierre de Jérusalem (Israël) / Blanc Thasos (Grèce) - 23 lattes, travail situé 2015" (2015).
Photo. archives kamel mennour Courtesy des artistes et kamel mennour.
De gauche à droite : Marie Bovo
"Alger 18h59, le 2 novembre 2013"  et
"Alger 18h46, le 3 novembre 2013" (2013)
Matthew Lutz-Kinoy, "Untitled", céramiques (2018)
Bertrand Lavier, "Swing" (1988)
Neil Beloufa, "Untitled", bronze (2019).
De gauche à droite : Marie Bovo
"Alger 18h59, le 2 novembre 2013" et
"Alger 18h46, le 3 novembre 2013" (2013)
Matthew Lutz-Kinoy, "Untitled", céramiques (2018)
Bertrand Lavier, "Swing" (1988)
Neil Beloufa, "Untitled", bronze (2019).
Photo. archives kamel mennour Courtesy des artistes et kamel mennour.
De gauche à droite :
Anish Kapoor, "Mirror (Magenta to Red)" (2019)
Bertrand Lavier, "Erard" (2019)
De gauche à droite :
Anish Kapoor, "Mirror (Magenta to Red)" (2019)
Bertrand Lavier, "Erard" (2019)


Photo. archives kamel mennour Courtesy des artistes et kamel mennour.

De gauche à droite : Latifa Echakhch,
"Make a thirty-degree angle on the left, then two steps on the right. Vigorously shake the head and start running straight ahead" (2019)
Ugo Rondinone, "the virtuous" (2019)
Petrit Halilaj, "Abetare (Sunflower)" (2019).
De gauche à droite : Latifa Echakhch,
"Make a thirty-degree angle on the left, then two steps on the right. Vigorously shake the head and start running straight ahead" (2019)
Ugo Rondinone, "the virtuous" (2019)
Petrit Halilaj, "Abetare (Sunflower)" (2019).
Photo. archives kamel mennour Courtesy des artistes et kamel mennour.

Multimédia, ready-made, peinture : de plus en plus diverses et nombreuses, les expositions misent sur le virtuel pour surmonter la mise à distance du confinement. Voici trois exemples qui révèlent les coulisses de la création tout en tissant des parallèles inattendus avec l'actualité.

Sarah Sze

Galerie Gagosian

Glaneuse des temps modernes

Il s’agit de sa première exposition personnelle à Paris, depuis celle à la Fondation Cartier vingt ans plus tôt. Sobrement intitulée Sarah Sze, la manifestation résume l’ensemble de ses pratiques (installations, peintures, projections vidéo) illustrant le langage visuel complexe et détaillé de l'artiste américaine. Diplômée de l’université de Yale en 1991 puis de la School of Visual Arts de New York en 1997, Sarah Sze (née en 1969) aime bousculer le spectateur, le regard perdu sur ses vastes installations d'objets dispersés, formant une constellation multimédia. Héritières lointaines des impressionnistes, ses œuvres picturales, alliant peinture, collages et photographies numériques,…

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Article issu de l'édition N°1930