Le Quotidien de l'Art

Normandie impressionniste se penche sur les seconds rôles

Normandie impressionniste se penche sur les seconds rôles
Charles Lacoste, "La Main d’ombre", 1896, huile sur toile, 36 x 64.5 cm. Paris, Musée d’Orsay. « Nuits électriques » au MuMA du Havre
Photo Hervé Lewandowski/DR /RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay).

Le festival, qui lance sa 4e édition au printemps, accorde une part importante à la redécouverte des personnages négligés du mouvement artistique.

C’est sous les ors du Grand Salon du musée d’Orsay que « Normandie impressionniste » 2020 a été présenté avant-hier. Une raison évidente à cela : si le musée est le conservatoire de la peinture impressionniste, il est aussi, comme l’a rappelé sa présidente, Laurence des Cars, « un établissement national et non pas parisien », qui s’engage dans cette opération en prêtant 65 œuvres à 7 institutions différentes. 

5 millions d’argent public

La périodicité irrégulière de la manifestation – 2010, 2013, 2016, puis 2020 pour une formule renouvelée – souligne la complexité de la machinerie. Pour cette édition placée sous l’intitulé « La couleur au jour le jour » par le commissaire Philippe Piguet, ce sont 35 collectivités qui ont été réunies au sein d’un GIP (Groupement d’intérêt public) qui est un vrai mille-feuille. Y voisinent la région, deux départements, deux métropoles (Rouen Normandie, Le Havre Seine), une communauté urbaine (Caen), trois villes (Rouen, Caen, Le Havre)…

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Article issu de l'édition N°1871