R. A. Comment analysez-vous le marché de l'art moderne en 2012, qui a connu un pic avec le record de 119,9 millions de dollars pour le Cri de Munch chez Sotheby's, mais où les ventes ont été globalement plutôt moyennes ?
T. S. Cela a été une année de stabilité, où le Munch a crevé le plafond lors de la première moitié de l'année. C'est une enchère exceptionnelle. Qui aurait dit que…