R. A. Avec une année marquée par la crise, l'élection présidentielle - qui tend toujours à paralyser l'activité -, et une fiscalité accrue, comment les galeries françaises s'en sont-elles sorties ?
G.-P. V. J'ai le sentiment que l'année n'a pas été particulièrement plus difficile que les précédentes. On a deux catégories de galeries, celles qui font les foires ou pas, celles qui ont un stock valorisant, ou celles qui sont émergentes. Le marché est de plus en plus polarisé. Les jeunes galeries qui ont moins de cinq ans d'existence sont sur des positions de croissance, à des niveaux toutefois incomparables avec les…