Le Quotidien de l'Art

Marché

Collection d'entreprise, Arendt soutient la photographie

Stéphane Couturier, série "Melting Point", "Brasilia, Dom Bosco n°1", 2007-2010,  C-Print 180 x 224 cm et 100 x 125 cm, 5 exemplaires de chaque.
Stéphane Couturier, série "Melting Point", "Brasilia, Dom Bosco n°1", 2007-2010, C-Print 180 x 224 cm et 100 x 125 cm, 5 exemplaires de chaque.
Stéphane Couturier.

Ce cabinet d'avocats d'affaires s'est lancé dans l'aventure en 2003, mais pas n'importe comment, conseillé par le très actif « Monsieur photographie » au Luxembourg : Paul di Felice, commissaire d’exposition, critique d’art, artiste co-directeur de Café Crème art édition et de EMOP (European Month of Photography) et co-fondateur de Lët’z Arles (partenaire des Rencontres d’Arles). Il était important pour ce dernier que les œuvres soient accessibles au grand public (le week-end) et d'y associer un programme pédagogique et des rencontres autour d'artistes jeunes et confirmés. Le budget annuel (organisation de deux expositions et acquisitions) oscille entre 120 000 et 150 000 euros (la collection compte 250 œuvres). La ligne artistique ? Une photographie conceptuelle et plasticienne. Démonstration avec « Transmutations » de Stéphane Couturier, à voir jusqu'à fin février.

Article issu de l'édition Hors-série du 09 novembre 2019