Il y a du classique : 75 galeries internationales (en augmentation de 20%) ; le cadre incomparable du Grand Palais (pour un an encore avant les travaux) ; le pavoisement des Champs-Élysées ; le dîner le plus couru de la rentrée avec 800 invités (et un engagement pour la bonne cause avec l’association ALIPH qui aide à la reconstruction du patrimoine dans les régions en guerre). Mais il y a aussi du nouveau : l’ouverture à d’autres catégories d’exposants (dont Drouot et le Bahreïn) ; une section consacrée aux jeunes antiquaires ; un partenariat avec l’Art Loss Register pour améliorer la traçabilité des œuvres. Et – vraie révolution - une durée drastiquement réduite à 5 jours au lieu de 9. Habituée aux polémiques, la Biennale Paris – une cosmopolite glamour qui se dit crânement en franglais « The Universelle Art Fair » - joue le contrepied et se réinvente à sa façon…