Le Quotidien de l'Art

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Vue de l'exposition « La dépense, avec témoins », 2019, Crèvecœur, Marseille.
Vue de l'exposition « La dépense, avec témoins », 2019, Crèvecœur, Marseille.
Photo : Magali Lesauvage.
Minjung Kim, "Redmountain", 2014, aquarelle sur papier de mûrier, 2 x 63 cm.
Minjung Kim, "Redmountain", 2014, aquarelle sur papier de mûrier, 2 x 63 cm.
Courtesy Minjung Kim et galerie Catherine Issert
Minjung Kim, "Phasing" 2019, encre et technique mixte sur papier Hanji, 132 x 180 cm.
Minjung Kim, "Phasing" 2019, encre et technique mixte sur papier Hanji, 132 x 180 cm.
Courtesy Minjung Kim et galerie Catherine Issert
Minjung Kim, "Timeless", 2019, encre et technique mixte sur papier de mûrier Hanji,100 x 70 cm.
Minjung Kim, "Timeless", 2019, encre et technique mixte sur papier de mûrier Hanji,100 x 70 cm.
Courtesy Minjung Kim et galerie Catherine Issert
Vue des photographies de Meg Hewitt au sein de l'exposition « Tokyo is yours ».
Vue des photographies de Meg Hewitt au sein de l'exposition « Tokyo is yours ».
Courtesy Galerie Anne Clergue.
Vue des photographies de Meg Hewitt au sein de l'exposition « Tokyo is yours ».
Vue des photographies de Meg Hewitt au sein de l'exposition « Tokyo is yours ».
Courtesy Galerie Anne Clergue.
A gauche Meg Hewitt, au fond à droite Lorenzo Castore.
A gauche Meg Hewitt, au fond à droite Lorenzo Castore.
Courtesy Galerie Anne Clergue.
Les photographies de Lorenzo Castore au sein de l'exposition  « 1994-2001, A beginning ».
Les photographies de Lorenzo Castore au sein de l'exposition « 1994-2001, A beginning ».
Courtesy Galerie Anne Clergue.

Trois expositions dans le Sud de la France témoignent de la force expressive de l'épure.

Minjung Kim 

Galerie Catherine Issert

Lignes de vie 

Chaque jour, dans son atelier de Saint-Paul-de-Vence, l’artiste coréenne Minjung Kim (née en 1962) manipule avec délicatesse le papier hanji – papier traditionnel de son pays natal à base d’écorces de mûrier – dont elle expérimente les multiples transformations. Sa première exposition personnelle en France (prix de 11 000 à 80 000 euros) met en lumière un travail remarqué en 2018 à la White Cube Gallery de Londres. Collages et superpositions de morceaux découpés construisent des abstractions mouvantes rythmées par les ressorts de la matière, nuances spontanées des lavis bruns ou stigmates de la combustion du bâton d’encens apposé par l’artiste. Naissent alors des paysages et des constellations mystérieuses, éveillées parfois d’harmonies colorées. Ce rituel répétitif, inspiré de la pratique calligraphique apprise…

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Édition N°1766 / 16 juillet 2019

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Par Oscar Heinke



Article issu de l'édition N°1766