Le Quotidien de l'Art

Vu en galerie

Vue de l'exposition de Romain Kronenberg « Tout est vrai » à la galerie Sator.
Vue de l'exposition de Romain Kronenberg « Tout est vrai » à la galerie Sator.
Photo Grégory Copitet/Courtesy Galerie Sator.
Vue de l'exposition de Romain Kronenberg « Tout est vrai » à la galerie Sator.
Vue de l'exposition de Romain Kronenberg « Tout est vrai » à la galerie Sator.
Photo Grégory Copitet/Courtesy Galerie Sator.
Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.
Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.



Photo Oscar Heinke.

Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.
Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.



Photo Oscar Heinke.

Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.
Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.



Photo Oscar Heinke.

Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.
Vue de l’exposition de Cathryn Boch « Reverse » à la Galerie Papillon.
Photo Oscar Heinke.
Gorka Mohamed, "El Esquema Dinamico De La Ventosa", 2017, acrylique sur toile, 210 x 170 cm.
Pièce unique.
Gorka Mohamed, "El Esquema Dinamico De La Ventosa", 2017, acrylique sur toile, 210 x 170 cm.
Pièce unique.
Courtesy Gorka Mohamed et Galerie Thomas Bernard/Cortex Athletico.
Gorka Mohamed, "Sans titre", 2019, acrylique sur toile, 170 x 200 cm. Pièce unique.
Gorka Mohamed, "Sans titre", 2019, acrylique sur toile, 170 x 200 cm. Pièce unique.
Courtesy Gorka Mohamed et Galerie Thomas Bernard/Cortex Athletico.
Gorka Mohamed, "Portrait of Louis XIV with an Imaginary Prosthesic Cubist Leg", 2018, peinture à l'huile sur toile, 120 x 100 cm.
Pièce unique.
Gorka Mohamed, "Portrait of Louis XIV with an Imaginary Prosthesic Cubist Leg", 2018, peinture à l'huile sur toile, 120 x 100 cm.
Pièce unique.
Courtesy Gorka Mohamed et Galerie Thomas Bernard/Cortex Athletico.
Vue de l’exposition de Kehinde Wiley « Tahiti » à la Galerie Templon. De gauche à droite : "Portrait of Shelby Hunter", 2019, huile sur lin, 210,5 x
271,5 cm ; "Portrait of Tuatini Manate II", 2019, huile sur lin, 174,5 x
145 cm; "Contes Barbares", 2019, huile sur lin, 212,5 x 180,2 cm.
Vue de l’exposition de Kehinde Wiley « Tahiti » à la Galerie Templon. De gauche à droite : "Portrait of Shelby Hunter", 2019, huile sur lin, 210,5 x
271,5 cm ; "Portrait of Tuatini Manate II", 2019, huile sur lin, 174,5 x
145 cm; "Contes Barbares", 2019, huile sur lin, 212,5 x 180,2 cm.


Photo Oscar Heinke.

Photo Oscar Heinke.
Vue de l’exposition « Peinturama » à la Galerie Nathalie Seroussi. De
gauche à droite : John Baldessari, "Figure with burden", "Figure at rest",
1990, peinture vinyle sur photographie, 213,6 x 257,4 cm ; Martial Raysse,
"A propos de New York en Peinturama", 1965, assemblage, flocage, peinture à
la bombe, xérographie, houppette sur toile et film super 8, 103 x 167,5
cm.
Vue de l’exposition « Peinturama » à la Galerie Nathalie Seroussi. De
gauche à droite : John Baldessari, "Figure with burden", "Figure at rest",
1990, peinture vinyle sur photographie, 213,6 x 257,4 cm ; Martial Raysse,
"A propos de New York en Peinturama", 1965, assemblage, flocage, peinture à
la bombe, xérographie, houppette sur toile et film super 8, 103 x 167,5
cm.
Photo Oscar Heinke.

La 6e édition du Paris Gallery Weekend, du 17 au 19 mai, a accueilli 7500 visiteurs sur un itinéraire de 48 galeries particulièrement fort en solo shows. En voici une sélection.

Romain Kronenberg

Galerie Sator

Exploration mémorielle

L’espace est petit, la solennité palpable. On entre doucement dans l’univers de Romain Kronenberg (né en 1975 à Paris), qui se décline en trois médiums artistiques. L’artiste, ici réalisateur, s’efface pour nous laisser seuls avec les personnages qu’il a créés : quatre jeunes traumatisés par une attaque en bas d’un immeuble de béton. L’un d’entre eux y a laissé la vie, les trois autres cherchent désespérément la voie, artistique, pour y survivre. La photographie argentique explore des souvenirs de voyage, le roman imagine l’autre vie sans la disparition, le film, abrité dans une sculpture en forme de cénotaphe miniature, protège la mémoire de l’absent, pour éviter qu’elle ne s’échappe. Infiniment touchante, cette narration en forme d’impossible consolation donne à voir l’intériorité qui hante nos états de deuil, cette expérience mémorielle qui éprouve nos vies. L’installation est une fiction. Néanmoins, Tout est vrai, suggère le titre de l’exposition (complétée par une performance, des lectures et des projections). Les œuvres vont de 1800 à 12000 euros. 

Cathryn Boch

Gal…

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Article issu de l'édition N°1728