Le Quotidien de l'Art

I.M. Pei : l'architecture perd son pharaon

I.M. Pei : l'architecture perd son pharaon
Ieoh Ming Pei en 2004.
Photo Paul Hawthorne/AFP.

De la pyramide des âges, I.M. Pei occupait la pointe. Disparu à 102 ans, l’architecte star, lauréat du Pritzker Prize en 1983, était devenu une icône de sa discipline.

S’il devait son succès à ses réalisations, il le devait aussi à son sourire espiègle, ses yeux riant derrière des lunettes rondes à monture d’écaille. I.M. Pei donnait ainsi le sentiment d’être avant tout un homme simple, élégant, humaniste. Pourtant, il cumulait les honneurs. Il avait reçu le premier des Præmium Imperiale en 1989 et quantité d’autres médailles décernées par les grandes institutions de l’architecture mondiale comme le RIBA, le bureau des architectes britanniques.   

L'impact du Bauhaus

Ieoh Ming Pei, né en Chine à Guangzhou (Canton) en 1917, suit son père à Hong Kong, où celui-ci exerce ses activités dans le secteur bancaire. À 17 ans, il part faire ses études aux États-Unis. Après avoir obtenu son diplôme d’architecte au MIT (Massachusetts Institute of Technology), il suit un cursus de designer. Il fait alors la…

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Article issu de l'édition N°1726