Une foire qui double le nombre de ses exposants, qui renforce ses partenariats (avec le PAD, déjà éprouvé à Genève, ou avec la nouvelle Monaco Art Week), qui attire de nouvelles pointures (White Cube ou Mazzoleni), voilà qui est de bon augure quand on n’a que 3 ans ! Et artmonte-carlo le fait avec un goût affiché pour le contrepied : dans le sanctuaire des plus grandes fortunes et des valeurs sûres, on peut faire des achats à prix contenu, découvrir des artistes émergents, assister à des performances audacieuses. Il est encore trop tôt pour une conclusion définitive, mais la greffe semble avoir pris en un temps record avec ce nouveau format de foire – comme la cousine artgenève – de taille moyenne, décontractée, polyvalente et réactive, de qualité. Modèle à suivre…