Dans son droit de réponse, Madame Michèle Taburno, seconde épouse de mon père, Jean-Pierre Vasarely, dit Yvaral, fils cadet de l'artiste Victor Vasarely, soutient que j'agirais « sans droits » dans la préservation de l'œuvre de mon grand-père et qu'il serait en outre « permis de s'interroger sur les desseins réels » que seraient les miens, mes démarches étant qualifiées « d'équivoques et malsaines ». J'entends ici rappeler qu'aux termes de plusieurs décisions de justice aujourd'hui incontestables, j'ai été reconnu légataire universel de Victor Vasarely et seul titulaire du droit moral. La justice m'a également reconnu la qualité de membre fondateur de la Fondation Vasarely. Ce n'est que par le biais de ces décisions de justice que j'ai pu entrer, en 2006, au conseil d'administration de la Fondation alors encore vice-présidée par Madame Taburno. À mon arrivée, je n'ai pu que constater l'état de déliquescence dans lequel la Fondation se trouvait. En effet, à la suite d'une procédure d'arbitrage (1995-1997) qui avait conduit à vider la Fondation de l'ensemble des œuvres qui la composait au…
Droits de réponse
Suite au droit de réponse de Michèle Vasarely publié dans l'Hebdo du Quotidien de l'Art du 8 février 2019, nous avons reçu les droits de réponse suivants :