Le Quotidien de l'Art

Le film d'animation : un marché complexe

Le film d'animation : un marché complexe
Françoise Pétrovitch, "Panorama", 2016, en collaboration avec Hervé Plumet, projection vidéo, 5'29".
Courtesy F. Pétrovitch et galerie Semiose, Paris.

Bien que le dessin s’émancipe de plus en plus de la page et du mur pour envahir nos écrans, le film d’animation peine à trouver son marché.

William Kentridge, Nathalie Djurberg & Hans Berg, Marcel Dzama, Robin Rhode, Haluk Akakçe, Francis Alÿs, Françoise Pétrovitch, Kara Walker… Nombreux sont les artistes à pratiquer le film d’animation, un art à part entière à mi-chemin entre le dessin, la peinture et le cinéma. « L’outil est plus accessible qu’avant, remarque la curatrice Laurence Dreyfus, qui avait organisé en 2007 l’exposition « Momentary Momentum » sur ce sujet au centre d’art Parasol Unit, à Londres. Le point de départ est venu des jeux vidéo, qui ont libéré des logiciels avec lesquels les artistes ont été d’emblée familiers. »

Le potentiel est immense. En épousant la trame narrative d’un conte ou d’une petite mélodie onirique, l’animation permet d’aborder avec grâce ou légèreté les thématiques les plus graves, des heures sombres de l’histoire et de ses impardonnables angles…

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