Dans l’univers du cyclisme, on parlerait de dopage. Les galeries parisiennes ont désormais aussi leur substance, plus ou moins discrètement absorbée, pour résister à la dureté des temps. Deux, trois ou quatre semaines par an, les œuvres d’art sont décrochées et le murs repeints en blanc, couleur de la poudre et des « fashion weeks ». Soudain, aux trop rares amateurs d’art se substitue alors une foule des jeunes gens enthousiastes, bien habillés…