Le Quotidien de l'Art

À TEFAF New York, l’art ancien montre ses muscles

À TEFAF New York, l’art ancien montre ses muscles
Au centre du stand de la galerie Tomasso Brothers Fine Art, un Pied de Mercure en marbre blanc (vers le Ier-IIe siècle après J.C.). Photo : Mark Niedermann/Courtesy Tomasso Brothers Fine Art/Tefaf.

Bien qu’elle en soit seulement à sa troisième édition, la TEFAF New York, installée au Park Avenue Armory, un édifice à tourelles très XIXe siècle, a permis de nombreuses ventes à plusieurs marchands, dès le vernissage de vendredi et jusqu’à dimanche soir.

Ce sont 93 marchands, comprenant dix nouveaux exposants — dont la galerie Delalande, la galerie Cybele, Frascione Arte et Wildenstein & Co. —, qui participent à cet événement, qui prend fin mercredi. Alors que les collectionneurs de maîtres anciens et, plus largement, d’œuvres antérieures à 1950 s’étaient montrés plutôt rares sur ce salon, ils sont cette fois présents en grand nombre. Le collectionneur Henry Kravis, dont l’épouse, Marie-Josée, officie en tant que présidente et administratrice du MoMA et administratrice chez LVMH, s’y est rendu, ainsi que l’architecte Peter Marino, dont la collection de bronzes baroques a été exposée par la Wallace Collection à Londres. Les marchands ont pu traiter avec des Européens, mais aussi avec des Latino-Américains et même avec quelques Asiatiques.

Axel Vervoordt en lumière

La galerie Eric Coatalem a réalisé des ventes spectaculaires : un pastel de Mary Cassatt de 1890, La Petite Fille, et un pastel de 1720,…

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Article issu de l'édition N°1595