Par nécessité plus que par cupidité, le monde de l’art a pris l’habitude de tendre la sébile, évitant de se poser trop de questions. L’artwashing est ainsi devenu un must des grands groupes pétroliers, qui se font ainsi pardonner les ravages de l’exploitation des énergies fossiles. Quelques escrocs, experts en blanchiment, s’offrent un ravalement en couleurs. Enfin, quand des régimes autocrates se proposent de soutenir une exposition ou un musée, chacun…