La Biennale des antiquaires, qui ouvre ses portes le 8 septembre au Grand Palais, voudrait désespérément fermer un méchant cycle. Depuis quelques années, nombre de grands collectionneurs zappent ce rendez-vous autrefois prestigieux, au profit d’une clientèle trop modeste pour justifier la venue des marchands les plus importants. En lieu et place des cadors, les organisateurs présentent cette année de nouveaux visages. En priant pour que ces jeunes marchands aient à cœur de montrer…