Cette édition de la Biennale Paris obéit à une disposition spatiale assez novatrice, quelle est-elle ?
Il n’existe pas de salon parfait, on ne peut pas assurer à tous les stands la même fréquentation ! Mais il est vrai que nous avons une politique plus égalitaire que par le passé. Nous avons à cœur de mettre chaque exposant en valeur, c’est pourquoi nous avons décidé de supprimer l’allée centrale. Nous ne conservons que deux allées, ce qui dessine un parcours obligé, une boucle. Cela a évidemment une incidence par rapport à la disposition précédente (avec une allée centrale et deux allées secondaires) : nous ne pouvons plus accueillir autant de galeries. Nous aurons 62 stands cette année.
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