Sur le papier, tout était parfait, casting et décor. Un lieu qui a su fidéliser son public – le Palais de Tokyo. Un panel d’artistes parmi les meilleurs du moment, soutenus par des mécènes généreux. Qui plus est autour d’un thème heureux, l’enfance. Malgré cet alignement de planètes, le cycle estival du centre d’art parisien déçoit ou, pire, ennuie. Laure Prouvost, qui représentera la France à la Biennale de…