Small is beautiful. Telle est la petite exposition dédiée à quelques chefs-d'oeuvre de la collection de l'Américain Benedikt Silverman chez le marchand londonien Richard Nagy. Ce collectionneur de Sécession viennoise et d'expressionnisme allemand recherche, selon Nagy, les oeuvres d'artistes qui diraient : « Voilà qui je suis. Voilà ce que je peux faire ! ». Son credo est d'ailleurs assez proche de celui de Ronald Lauder, autre grand amateur des maîtres viennois et germaniques, qui avoue n'acheter que des pièces devant lesquelles il peut s'exclamer : « oh mon Dieu ! ». En mettant la barre très…