Le Quotidien de
l'Art
Depuis un demi-siècle, Ernest Pignon-Ernest colle ses affiches très politiques au cœur des villes, sans demander l’avis des autorités mais en s’assurant le soutien des habitants. Quand il a voulu s’interroger sur le legs de Pasolini, quarante ans après son assassinat, il n’a pas retrouvé en périphérie de Rome…
Découvrez toutes nos offres d'abonnements.
Je m'abonneVous pouvez aussi profiter d'un accès gratuit de 30 jours.
En savoir plus
Article issu de l'édition N°1511
Se connecter
Pas encore inscrit ?Mot de passe oublié
Finalisez votre inscription en confirmant que vous n'êtes pas un robot
