Quelle est la genèse des immenses toiles d’Olivier Debré – des « paysages mentaux » que vous rattachez aux Nymphéas de Monet - que vous exposez actuellement ?
Nous lui avions commandé quatre toiles en 1990 pour l’ancien Centre de création contemporaine de Tours, qui se trouvait près de la cathédrale, rue Racine. L’idée était de les faire aux dimensions des cimaises (environ 4 x 9 m). C’était toute la question de la disparition du mur et du…