Disette budgétaire oblige, les édiles n’ont plus qu’un mot à la bouche : « mutualisation ». Une manie qui les conduit à créer des « pôles ». De compétitivité, cela va s’en dire. La ville de Lyon, en février, a institué un pôle muséal, cornaqué par un seul interlocuteur. En l’occurrence le musée des Beaux-Arts, qui désormais chapeauterait le musée d’art contemporain (MAC)…