Avec un nombre d’exposants volontairement réduit à 39, dûment triés sur le volet, favorisant une atmosphère de convivialité qu’apprécient particulièrement les collectionneurs de belles feuilles, le Salon du dessin s’impose comme un événement international unique en son genre. Historiquement axé sur les œuvres anciennes, il s’est très rapidement ouvert aux papiers modernes en flirtant par petites touches avec l’art contemporain. Les Américains à la recherche des trésors dénichés sur le Vieux Continent, pour leurs institutions ou leurs collections privées, comptent parmi les habitués de ce rendez-vous.
Cinq nouveaux exposants
Cette année, les organisateurs du Salon du dessin accueillent cinq nouveaux participants qui retiendront certainement l’attention des visiteurs dans leur domaine respectif. « Nous sommes très enthousiastes de participer à ce salon qui est vraiment un événement majeur international pour le dessin », témoigne Jonny Yarker. Avec son associé Lowell Libson, il est le chantre de l’art britannique du XVIIe au XIXe siècle. Pour son retour remarqué (après plus de dix ans d’absence), à côté de grandes signatures telles que Thomas Gainsborough, JMW Turner,…