La guerre des biennales aura-t-elle lieu ? D’un côté, la Biennale des antiquaires, dans son écrin du Grand Palais, renommée Biennale Paris est en sévère perte de vitesse (départ de marchands importants, baisse de qualité et de prestige, chute de la fréquentation), depuis son annualisation il y a deux ans. Très critiqué, son changement de périodicité lui vaut d’être surnommé « L’Annale » par ses détracteurs. « Son format en biennale est ce qui faisait sa singularité par rapport aux autres foires internationales. Cela nous poussait à mettre des objets exceptionnels de côté, que l’on montrait…
Une biennale, sinon deux
Baptisée « Sublime, la biennale des arts d’exception », prévue pour octobre 2018 à l’hôtel des Invalides, elle regroupera une cinquantaine d’antiquaires de haut niveau et les plus grands joailliers de la place de Paris. Sonne-t-elle le glas de la Biennale des antiquaires ?