La saison printanière des ventes a commencé à New York le 1er mai avec la vacation de Christie's d'art impressionniste et moderne. La maison de ventes avait un double handicap : elle ouvrait le feu, et sa rivale Sotheby's avait mis la main sur LA pièce de l'année, le Cri de Munch (1895). Forte de ce trophée, Sotheby's a été capable de réunir un catalogue plus gros et plus riche. La spécialiste de Christie's, Giovanna Bertazzoni, a admis qu'il avait été difficile de trouver des pièces pour la vente, qui a finalement aligné 32 lots, estimés seulement entre 90,5 et 130,2 millions de dollars, et dont une pièce, Buste de Diego (1958) par Alberto Giacometti, fut…
Christie's, des résultats solides malgré une offre ennuyeuse
a saison printanière des ventes a commencé à New York le 1er mai avec la vacation de Christie's d'art impressionniste et moderne. La maison de ventes avait un double handicap : elle ouvrait le feu, et sa rivale Sotheby's avait mis la main sur LA pièce de l'année, le Cri de Munch (1895). Forte de ce trophée, Sotheby's a été capable de réunir un catalogue plus gros et plus riche. La spécialiste de Christie's, Giovanna Bertazzoni, a admis qu'il avait été difficile de trouver des pièces pour la vente, qui a finalement aligné 32 lots, estimés seulement entre 90,5 et 130,2 millions de dollars, et dont une pièce, Buste de Diego (1958) par Alberto Giacometti, fut retirée à la dernière minute. Seuls trois lots furent ravalés, la vente totalisant 117,08 millions de dollars (87,8 millions d'euros) avec 96 % de lots vendus en valeur et 90 % en volume. Un résultat qui, selon Christie's, est tout de même son plus fort pourcentage depuis 2006.