La galeriste parisienne Natalie Seroussi, ainsi que son mari interpellé sur la FIAC lors du vernissage de la foire, a été entendue mercredi dans une affaire de tableaux indiens contemporains. « Les policiers sont venus voir des documents. C'est une affaire d'une grande banalité. Quel marchand qui fait des affaires dans l'art n'a pas été convoqué une fois à Nanterre ? Il y a parfois des problèmes, souvent liés à un tiers. Il n'y a ici aucune histoire de blanchiment comme certains journaux l'ont prétendu. Je n'ai rien à cacher », nous a déclaré la galeriste.