Roxana Azimi_Vous êtes plus emblématique de l’ouverture d’un Barack Obama que du repli de Donald Trump.
Est-ce difficile de représenter aujourd’hui les États-Unis
à la Biennale de Venise ?
Mark Bradford_À plusieurs reprises dans l’histoire des États-Unis, nous avons eu des gouvernements difficiles. Cela ne veut pas dire qu’il faut baisser les bras. Il faut être encore plus fort pour exiger, je dis bien exiger et non demander, de s’asseoir à la table…