Le Quotidien de l'Art

À Pied d’œuvre(s), un parcours réjouissant à la Monnaie de Paris

À Pied d’œuvre(s), un parcours réjouissant à la Monnaie de Paris
James Lee Byars, (1932-1997), L’ange rouge de Marseille, 1993, boules en verre plein. Vue d’exposition « À pied d’œuvre(s) », mars 2017, à la Monnaie de Paris. © Centre Pompidou, MNAM-CCI / Philippe Migeat.

Pour fêter ses quarante ans, le Centre Pompidou orchestre une exposition décalée sur la sculpture à ras de terre à l’Hôtel de la Monnaie, à Paris. Un parcours resserré mais jubilatoire.

Qui dit sculpture, pense fatalement aux formes monumentales, fièrement érectiles, « priapiques », selon la (bonne) formule de Bernard Blistène. Mais le directeur du musée national d’art moderne n’aime rien tant que remettre à plat les lieux communs. Pour l’exposition anniversaire du Centre Pompidou, organisée à la Monnaie de Paris, il a eu la riche idée d’exposer une sculpture qui décentre le regard : objets furtifs qui occupent le sol à l’instar de la vidéo de Pipilotti Rist, chatouillent les…

À Pied d’œuvre(s), un parcours réjouissant à la Monnaie de Paris
À Pied d’œuvre(s), un parcours réjouissant à la Monnaie de Paris

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Article issu de l'édition N°1263