La reprise des pièces historiques (Dance et Available Light) de Lucinda Childs depuis deux ans dans le cadre du Festival d’Automne, à Paris, donne lieu cette année, en guise de conclusion, à un portrait de la danseuse et chorégraphe américaine considérée comme une figure essentielle du mouvement minimaliste et répétitif : de la représentation de ses premières œuvres où elle interroge les fondements de la danse à partir d’objets du quotidien transformant le geste, ou encore de la marche et du tour (Pastime, 1963 ; Carnation, 1964 ; Reclining Rondo, 1975 ; Katema, 1978), aux plus récentes (La Grande Fugue de Beethoven, 2016), en passant par deux expositions. Mais comment exposer la danse ?
Après des années d’expositions de cet autre art du…