Ça tremblote, ça se trémousse, ça gigote, ça tintinnabule, ça se met en transe et ça heurte. Et surtout, ça nous électrise. Quatre ans après la première exposition de reliefs des années 1950, la Galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois présente le corpus le plus jouissif de l’artiste suisse, une quinzaine de sculptures-machines déglingues et délirantes réalisées dans les années 1960. Une vraie prouesse tant ces œuvres qualité musée sont compliquées à dénicher et à restaurer.
Le hasard, l’anarchie, le chaos, tels sont les maîtres mots de ces années fécondes.…