Le Quotidien de l'Art

« Cols rouges » : De l’art de bien « débarrasser »

Entre difficultés à attester des vols et arguties législatives, les avocats des ex-« cols rouges » de l’hôtel Drouot se sont attachés, hier, à minimiser les faits.

Sur L’île de la Cité, au Palais de Justice, juste à côté de la Sainte-Chapelle, la justice immanente le dispute à la justice transcendante. « Au sommet de leur montagne, il y a toujours une Vierge. N’attendez pas, Madame le président, qu’ils aient besoin de comparaître devant Elle pour avoir l’absolution », lance un avocat, défenseur de plusieurs « cols rouges » d’origine savoyarde. Après trois semaines de procédures, le procès-fleuve des anciens manutentionnaires de l’hôtel Drouot, alors réunis au sein de l’UCHV (Union des commissionnaires de l’hôtel des ventes), touche à sa fin. La majorité des prévenus encourt des peines de deux ans ferme (aménageables) au minimum et des amendes variables.

Hier,…

« Cols rouges » : De l’art 
de bien « débarrasser »
« Cols rouges » : De l’art 
de bien « débarrasser »

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Article issu de l'édition N°1037