Roxana Azimi_Votre galerie est financée depuis peu par le marchand Laurent Strouk, connu pour défendre Philippe Pasqua ou Philippe Hiquily. Comment est née cette étrange association ?
Vincent Pécoil_Nous avons fait connaissance voilà un an. Il suivait l’actualité de la galerie, nous avons sympathisé, nous avons décidé de nous associer depuis plus d’un mois. Laurent avait envie de se diversifier, d’avoir accès à un monde différent. Il y a six mois, il avait exposé Michael Scott avec des œuvres que nous avions consignées. Sur le fond, rien ne change. Je ferai exactement la programmation comme avant, mais j’aurais plus de moyens.
Comment les artistes ont-ils réagi à votre nouvel espace ?
Ils sont excités et nerveux. Les volumes ne sont pas les mêmes. Cela suppose la mise en œuvre d’une production importante. Mais cela ne m’impressionne pas plus que…