La vente de Christie’s hier après-midi à Paris a démontré, s’il était besoin, que l’écart se creuse entre les pièces importantes et les autres, en art tribal comme ailleurs. Contrairement à Sotheby’s la veille, la maison de l’avenue Matignon a bien vendu ses deux lots phares. Un masque océanien du détroit de Torrès (Australie) a vu son estimation haute de 1,2 million d’euros dépassée pour atteindre 1,4 million d’euros au marteau. Un téléphone a fini par l’emporter contre le courtier Heinrich Schweizer, déjà très actif mercredi. Avec ce masque de la collection…
Record pour un masque océanien chez Christie’s
Les résultats contrastés chez l’auctioneer hier après-midi, au-delà du succès des deux lots phares, témoignent d’un marché exigeant et peu fourni pour les pièces de moyenne gamme.