L’art tribal est un marché qui peut réserver des surprises. Ainsi chez Sotheby’s hier après-midi à Paris, ce ne sont pas les lots phares, ceux que la maison de ventes avait le plus mis en avant, en accentuant les provenances, qui ont remporté le plus de succès, mais des pièces placées dans la dernière partie de la vacation, le détenteur restant parfois anonyme.
La collection belge René et Odette Delenne, qui ouvrait la vente avec 19 lots, a reçu un accueil inégal. Dans la partie consacrée à l’art indonésien, trois pièces ont largement dépassé les estimations. D’abord, une figure de…