Roxana Azimi_Vous dirigiez l’Armory Show, dont vous aviez réussi à redresser la barre. Pourquoi avez-vous rejoint Art Basel ?
Noah Horowitz_Il y a plusieurs facteurs. D’abord, Art Basel est la marque la plus établie dans le domaine des foires : elle a une histoire, une qualité par son parterre de galeries et par les collectionneurs qui s’y rendent. Et surtout, c’est une plateforme internationale. L’Armory show est une foire new-yorkaise, avec principalement une audience américaine, que j’ai essayé d’augmenter et diversifier. Mais, c’est compliqué. La dimension internationale est en revanche dans l’ADN d’Art Basel. Or, j’aime penser sur le plan global et une échelle macro.
Oui, mais vous êtes directeur du pôle Amériques, ce qui réduit le volet…