Le Quotidien de l'Art

OFFICIELLE se la joue «?solo?»

OFFICIELLE se la 
joue «?solo?»
Thomas Tronel-Gauthier, Attraction (sur extincteur), 2015, extincteur, clônes de pierres volcaniques aimantés en résine teintée, 39,5 x 12,5 cm. Courtesy 22,48 m2, Paris.

Intitulée solo shows ou « OFFICIELLE PRESENTS », une des particularités de cette deuxième édition de l’OFFICIELLE est
de multiplier les monographies Pas moins de 23 galeries parmi les 69 installées jusqu’au 25 octobre dans le bâtiment ondulé des Docks-Cité de la mode et du design ont fait le pari de ne présenter qu’un seul artiste.

Cinq exposants proposent de réévaluer l’œuvre d’autant d’artistes oubliés. Si Arnaud Lefebvre (Paris) met en lumière Hessie, dont les tableaux brodés évoquent les petits créés par Louise Bourgeois, Kant, galeriste danois, met à l’honneur Thomas Bang. Andrew Rafacz (Chicago) présente Norman Zammitt (1931-2007), un pionnier du mouvement minimal qui se mit à peindre en série, à l’orée des années 1970, des « progressions colorées ». Ces tableaux, qu’il considérait comme de véritables paysages, produisent dans le brouhaha de la foire un effet quasi hypnotique. Impossible à rater, la sculpture posée sur le sable du Belge Jeroen Frateur, Aménagement du territoire (2013-2014), serpente sur toute la longueur du stand d’Olivier…

OFFICIELLE se la 
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Article issu de l'édition N°927