Atsunobu Kohira n’entend pas fixer les choses mais les révéler, en privilégiant le moment vécu, puis sa trace. Sound in the glass (2014) est l’empreinte d’une expérience, quand le souffle de l’artiste dans une trompette créa et modula une bulle de verre. Le son n’est pas figé mais exposé.
Ce dernier tient une place importante dans le travail du Japonais. Il apporte une touche de dérision avec ces grelots attachés aux poings américains dans Rumbrings No.001 & No.002 (2008). La pièce Constellation of Music donne ni plus ni moins à voir qu’une composition sonore. La flamme d’une bougie en cire ondule avec le son diffusé dans Vanitas / Magnolia (2015). Enfin, dans Infravoice (2009),…