Le Quotidien de l'Art

JÉRÔME PANTALACCI, directeur d’ART-O-RAMA « À ART-O-RAMA, nous privilégions la proposition artistique »

Forte de son capital sympathie, la foire ART-O-RAMA, organisée à Marseille du 28 au 30 août, marque la rentrée du marché de l’art français après la trêve estivale. Le salon rallie cette année 21 galeries, dont Praz-Delavallade (Paris), 22,48 m2 (Paris), Antoine Levi (Paris), Micheline Szwajcer (Bruxelles) ou Daniel Marzona (Berlin). Directeur du salon, Jérôme Pantalacci répond à nos questions.

Roxana Azimi_Comment expliquez-vous le succès d’ART-O-RAMA et l’apparition à Marseille d’un autre salon dédié au dessin depuis l’an dernier, alors que le marché local semble en berne ? Ainsi, la Galerie Karima Celestin va fermer pour ouvrir un espace à Londres.

Jérôme Pantalacci_Il est évident qu’entre le moment de la foire et le reste de l’année, les choses ne sont pas pareilles. C’est bien qu’il y ait Paréidolie [lire l’entretien avec Martine Robin page 12], qui ouvre à d’autres collectionneurs. C’est compliqué d’avoir une galerie en ville, les collectionneurs basés à Marseille ne suffisent pas pour permettre à une enseigne de vivre. Il faut qu’elle s’ouvre. Mais Gourvennec Ogor continue à fonctionner. Ce…

JÉRÔME PANTALACCI, directeur d’ART-O-RAMA
« À ART-O-RAMA, nous privilégions la proposition artistique »
JÉRÔME PANTALACCI, directeur d’ART-O-RAMA
« À ART-O-RAMA, nous privilégions la proposition artistique »

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Article issu de l'édition N°887