Roxana Azimi_Comment expliquez-vous le succès d’ART-O-RAMA et l’apparition à Marseille d’un autre salon dédié au dessin depuis l’an dernier, alors que le marché local semble en berne ? Ainsi, la Galerie Karima Celestin va fermer pour ouvrir un espace à Londres.
Jérôme Pantalacci_Il est évident qu’entre le moment de la foire et le reste de l’année, les choses ne sont pas pareilles. C’est bien qu’il y ait Paréidolie [lire l’entretien avec Martine Robin page 12], qui ouvre à d’autres collectionneurs. C’est compliqué d’avoir une galerie en ville, les collectionneurs basés à Marseille ne suffisent pas pour permettre à une enseigne de vivre. Il faut qu’elle s’ouvre. Mais Gourvennec Ogor continue à fonctionner. Ce…