« C'est un immense volcan qui couve depuis un certain temps sous le Museum of Modern Art [à New York], une source de colère pour les amateurs d'art vieille école confrontés à sa réorientation vers le commerce, la célébrité et le tourisme. L'expo actuelle “Björk”, qui célèbre la chanteuse islandaise comme l'artiste d'une époque [“an era-defining artist”] pour reprendre les termes du curateur Klaus Biesenbach dans le catalogue, pourrait bien déclencher une éruption. Attendez-vous à voir se répandre à tout instant sur Midtown un déversement de bile critique digne d'une coulée de l'Eyjafjallajökull. Parce que, Mesdames et messieurs, cette expo est vraiment mauvaise. […] Le MoMA a pondu une belle merde » (3 mars). Une prédiction critique d'Artnet que la presse anglo-saxonne s'est empressée de réaliser au fil de commentaires sur une exposition « Björk » qui entraîne avec elle de Charybde en Scylla son…
« Björk », l'ultime faux pas de Klaus Biesenbach au MoMA ?
C'est un immense volcan qui couve depuis un certain temps sous le Museum of Modern Art [à New York], une source de colère pour les amateurs d'art vieille école confrontés à sa réorientation vers le commerce, la célébrité et le tourisme.