Rien de tel qu'un petit scandale pour occuper le devant de la scène médiatique. Ce qui ressort de la lecture de la presse américaine qui s'est penchée sur l'exposition de Loris Gréaud au Dallas Contemporary « The Unplayed notes » (lire Le Quotidien de l'Art du 6 janvier 2015), ce ne sont pas tant les comptes-rendus du projet que les réactions à l'échange de propos que l'artiste a eu avec une critique du Dallas Observer, Lauren Smart, peu convaincue par son projet. Comme la critique nous l'apprend sur son blog, « je me suis réveillée samedi matin avec un charmant message sur Facebook d'un artiste nommé Loris Gréaud. La semaine précédente, il avait fait une visite à la presse de son exposition au Dallas Contemporary. L'essentiel des oeuvres présentées cet après-midi-là a été détruit au cours d'une performance le…