Roxana Azimi_Comment se répartissent les oeuvres entre Paris et New York ?
Matthieu Poirier_Ce sont deux expositions complémentaires et autonomes, on peut voir l'une sans voir l'autre. Nous avons travaillé sur un seul fonds, celui de la succession Soto, auquel se sont rajoutés des prêts du musée d'art contemporain de Montréal et du Hirshhorn Museum [Washington] pour le volet new-yorkais. J'avais à ma disposition un ensemble considérable dans lequel j'ai pu piocher tout ce que je voulais. Il y a une trentaine d'oeuvres à Paris et une vingtaine à New York, dont la moitié est à vendre.
La galerie Perrotin n'a pas d'artistes cinétiques ou de contemporains qui aient des accointances avec ce mouvement. Comment expliquer la…