Loris Gréaud aime les projets prométhéens, incandescents, ceux qui le mettent en péril au sens propre et figuré. Les grands espaces ne lui font pas peur : 4 000 m2 au Palais de Tokyo ancienne mouture en 2008, l'atrium du Centre Pompidou en 2013… Pour son premier solo show dans un musée américain, le Dallas Contemporary au Texas, il ne fera pas les choses à moitié, occupant l'intégralité de l'institution (4 000 m2). Son projet ? « Une oeuvre d'art totale liée au suicide artistique », « un nuage de gestes et de signes » forés dans ses lectures…
L'irrésolu, selon Loris Gréaud
L'artiste Loris Gréaud prépare sa première exposition dans un musée américain. Chronique d'une déflagration annoncée.