Le Quotidien de l'Art

Koons, ou le syndrome de la vacuité au Centre Pompidou

Le Centre Pompidou dresse le tapis rouge pour Jeff Koons, syndrome d'une époque tournant à vide

Un artiste débusqué en 1986 par l'oeil perçant de feu Ileana Sonnabend peut-il être mauvais ? A priori, on répondrait par la négative. A priori seulement. Car le blanc-seing de la vénérable galeriste est souvent avancé par les thuriféraires de Jeff Koons pour le valider. Non, nous serine-t-on, il n'est pas qu'un syndrome et un produit des excès du marché. Cette analyse est difficile à partager. La banalité portée au rang d'art, les galons gagnés à la fin des années 1980 où l'on pouvait le comparer peu ou prou à des artistes comme Haim Steinbach, ne donnent pas du crédit à ses niaiseries actuelles. Ses principes…

Koons, ou le syndrome de la vacuité au Centre Pompidou
Koons, ou le syndrome de la vacuité au Centre Pompidou

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Article issu de l'édition N°729